Leyla Souleymane est en Terminale A dans l’établissement scolaire TANAT, elle nous envoie ce très beau témoignage:
« Comme vous le savez tous, chaque enfant a besoin d’une éducation qui contribuera à sa culture générale et lui permettra dans des conditions de chance, d’égalité, de développer ses facultés, son jugement personnel, son sens des responsabilités morales et sociales et de devenir un membre utile de la société.
C’est pourquoi je considère l’éducation comme la base de tout et que j’y accorde une importance capitale. C’est cela qui m’encourage à être toujours meilleure que celle que j’étais hier.
Quand je suis arrivée à Abalak avec mes parents, j’étais énormément peinée de quitter mon école et mes amies.
Je voulais alors m’inscrire dans la meilleure école de la ville; c’est ainsi que j’ai choisi TANAT non pas parce que c’est un établissement privé mais pour la qualité de son enseignement.
Durant mes premiers jours, j’étais seule car je n’avais pas d’amis mais cela ne dura pas 3 jours. Plus les jours passent plus je suis fière de mon choix car TANAT est une école où la paix, la solidarité, la fraternité et l’amour de son prochain sont cultivés et se trouvent en chaque individu qui s’y trouve. La couleur de peau, le rang social, l’ethnie, la religion nous importent peu. On se respecte les uns les autres et l’essentiel pour nous est d’acquérir un savoir qui pourra nous aider mais aussi développer notre pays car nous sommes les hommes et les femmes de demain et notre pays compte sur nous.
A TANAT, nous disposons d’un corps professoral compétent, digne de ce nom. Les cours sont dispensés de manière explicite pour faciliter la compréhension de tous, les profs ne se lassent jamais de revenir en arrière afin de nous réexpliquer une partie non comprise. Notre administration est très rigoureuse, sans oublier notre surveillant général qui fait tout pour maintenir l’ordre.
TANAT offre un enseignement en vue d’atteindre l’excellence et j’espère que j’aurai mon baccalauréat cette année afin de rendre fiers pas seulement mes parents et mes encadreurs mais aussi mon pays.
J’ai trouvé en TANAT une seconde famille. »